Relais d’Or Miko développe sa dynamique de proximité

Une proximité commerciale et servicielle qui se veut en cohérence avec les cahiers des charges spécifiques, les tickets moyens et les contraintes de chacun des clients restaurateurs, le tout au travers d’une capacité d’écoute forte et empreinte de pragmatisme. De fait, pas question de vendre à tout prix la même chose à tout le monde. « Si l’on prend l’exemple du Veau Les Vitelliers, ce qui était au départ un critère de qualité est devenu un label », explique Xavier Tevissen, directeur de Relais d’Or Centrale.

Ecoute et accompagnement
Aujourd’hui, entre 85 % et 90 % du chiffre d’affaires de Relais d’Or Miko sont réalisés en restauration commerciale indépendante. Grâce à son histoire héritée de son métier de glacier, le réseau est par ailleurs armé pour satisfaire cette restauration particulièrement météosensible. En outre, la proximité des stocks, découlant d’un maillage géographique performant, permet une réactivité dans la prise de commande et une rapidité dans la livraison. Pour autant, Relais d’Or Miko ne souhaite pas être le « dépanneur de service » : « Nous offrons cette proposition de valeur aux clients qui jouent aussi le jeu avec nous. Je pense toutefois qu’un client aujourd’hui raisonne davantage en heure limite de prise de commande et en nombre de jours ouverts à la livraison qu’en distance entre le stock et le point de vente », souligne Brieuc Fruchon. Cette proximité se traduit également en termes d’écoute et d’accompagnement des adhérents de la part de la centrale (audits des normes qualité, partage d’informations, etc.). En résumé, un ADN de proximité qui se veut unique et différenciant, mais surtout pas cloné sur d’autres modèles.