[Spécial RSE] - Les distributeurs foodservice parlent de la RSE
Ils parlent de la RSE...
« Le discours sous-jacent de chacun des patrons de RSE, c’est que cela doit se faire à prix identiques. Les acteurs de la restauration ne veulent pas entendre parler d’augmentation de prix. Ce qui n’est pas simple pour les fournisseurs qui font de la R&D et qui investissent. »
Christophe Ménager, directeur associé de Bossman Consultants. P.4
« La RSE ne peut pas être réduite à une seule priorité, c’est un ensemble de mutations. Il faut être capable de travailler en même temps sur l’offre produits, le personnel et l’engagement des équipes… »
François Blouin, P-DG de Food Service Vision. P.8
« Demain, l’économie circulaire se fera par des partenariats, des collaborations et des mutualisations. »
Xavier Fiorina, directeur supply chain de France Boissons. P.10
« Il n’y a pas de monopole de la bonne pratique. Ce n’est pas le fournisseur qui a raison, ce n’est pas le client, ce n’est pas nous : toutes les parties prenantes contribuent, y compris certaines ONG qui posent des questions pertinentes sur le bien-être animal. »
Bruno Mantovani, directeur qualité et responsabilité sociétale de l’entreprise chez Groupe Pomona. P.14
« On n’installe plus du photovoltaïque pour réinjecter l’électricité dans le réseau comme avant. Aujourd’hui, l’objectif c’est l’autoconsommation. »
Jean Tavernier, responsable RSE de France Frais. P.19
« Une machine à café neuve a une durée de vie de six ans ; le reconditionnement lui fait gagner une demi-vie, soit trois ans. »
Anne Richard Bellanger, directrice générale de Cafés Richard. P.25
« Dans des appels d’offres, on nous demande de calculer le tonnage de CO2 que nos livraisons vont occasionner. Et quand ce n’est pas quantifiable, on nous demande quelles actions nous menons pour réduire notre empreinte carbone. »
Dimitri Devillers, responsable supply chain de Forezia Snacking. P.26
« Je pense que nous avons toujours intérêt à positiver dans des périodes comme celle-ci. Globalement, on constate qu’il y a de la souplesse, de la solidarité, de l’engagement de la part des collaborateurs et des partenaires sociaux. »
Bruno Boutet, directeur des ressources humaines de Martin Brower France. P.36