Alimentation : les enfants ne comptent pas pour du beurre !
Selon la deuxième édition de l’Observatoire Alimentation & Familles* de la Fondation Nestlé France dressé avec Ipsos, la pandémie a favorisé la prise de repas en famille et renforcé l’influence des enfants dans les pratiques alimentaires des Français.
Le confinement a eu du bon ! Notamment en termes d’alimentation au sein des foyers français. D’après la deuxième édition de l’Observatoire Alimentation & Familles de la Fondation Nestlé, mené avec Ipsos, 8 Français sur 10 gardent ainsi un bon souvenir des repas prix en famille durant la pandémie.
" Se retrouver, ensemble, à table a été un facteur positif dans une période d’anxiété. La quête du bien-manger s’est renforcée, ainsi que l’influence des plus jeunes sur les comportements alimentaires de tout le foyer. Ces repas pris ensemble semblent être aujourd’hui nécessaires au bien-être de tous. Cet Observatoire est donc primordial pour la Fondation Nestlé France : nous prenons conscience des tendances et contraintes qui façonnent leur quotidien, et pouvons mener des actions en conséquence ", explique Pierre-Alexandre Teulié, secrétaire général de la Fondation Nestlé France.
Dans cette période d’insécurité, l’étude observe par ailleurs une accélération de la transition vers des comportements alimentaires plus équilibrés et responsables. Beaucoup de nos compatriotes souhaitent réduire le sucre (32 %), privilégier le fait maison (31 %) ou bien encore diminuer la consommation de viande (26 %).
Et surprise : les enfants sont les nouveaux moteurs de l’équilibre et de la transition alimentaire dans les foyers. 49 % de ces derniers avec enfants sont influencés par leurs enfants sur le fait de manger plus sain.
Des bonnes nouvelles pour l’avenir des assiettes ! Reste qu’avec le développement du télétravail, la structure des repas à la française pourrait être potentiellement mise en danger. Un tiers des télétravailleurs disent ne pas prendre de réelle pause déjeuner et manger souvent devant leur écran d’ordinateur.
Par ailleurs, les contraintes de temps réapparaissent pour manger équilibré (37 %) ainsi que celles de prix (45 %) et d’inspiration (36 %).
C.C
*Ipsos a combiné une analyse de conversations en ligne sur les réseaux sociaux, à une étude quantitative menée en juillet 2021 auprès d’un échantillon national représentatif de 1 000 personnes de 18 à 65 ans.