Le Nantais Ozon se concentre sur la cantine connectée

Thierry Goussin
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Simon Pesme ozon restauration collective

Née en 2014 à Nantes, la société Ozon a évolué dans la commercialisation de ses plats en bocaux. 

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D'abord présente le midi sur des formats mobiles, puis dans des kiosques en entreprise, elle est aujourd'hui entièrement focalisée sur le frigo connecté. Un choix stratégique décidé par le traiteur La Maison Hebel, partenaire puis actionnaire majoritaire d'Ozon depuis 2019. Membre du réseau Traiteur de France, certifié ISO 20 121, Hebel est pour les clients des frigos connectés un gage de qualité et de fraîcheur. Les plats sont préparés dans le laboratoire de La Chevrolière la veille de leur livraison par une équipe dédiée de 7 personnes. L'offre d'Ozon se caractérise par sa saisonnalité et sa forte rotation. On trouve chaque jour 7 à 9 propositions salées dans ses frigos : viande, poisson, végétarien, pâtes, salades, offre boulangère. 

Pertes quasi nulles

Quasi nulles pour les plats grâce à une DLC de 7 jours, les pertes en ultra frais sont limitées par une gestion fine des stocks et le lancement de promotions à distance. La société veille aussi avec ses clients entreprises à soumettre « un tarif social », relève son directeur général Simon Pesme. On peut déjeuner au frigo Ozon pour un ticket restaurant ou opter pour un plat à 5 – 6 €. Porté par les évolutions du monde du travail, Ozon connaît un développement régulier. L’entreprise cuisine 1 200 repas par jour pour une soixantaine de frigos en Loire-Atlantique, Vendée et depuis peu Maine-et-Loire. Elle souhaite consolider cet ancrage pour devenir un acteur régional incontournable de la cantine connectée.

Thierry Goussin
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