Les Grossistes Alimentaires de France hissent le pavillon

« En tant que fédération, nous adhérons à deux confédérations : l’une qui est le cœur de notre métier : la Confédération des grossistes de France, la CGF, et puis l’autre : la Confédération des PME, la CPME », 
Jacques Déronzier, président de la fédération Les Grossistes alimentaires de France

« Un formidable trait d’union entre l’amont agricole et le secteur de la restauration et des métiers de bouche »,  
Véronique Louwagie, ministre déléguée chargée du Commerce, de l'Artisanat, des PME et de l'Économie sociale et solidaire

« Je suis à votre disposition, vous le savez, sur les salons, sur les différentes manifestations que vous pouvez organiser ensemble ou individuellement »,  
Guillaume Gomez, ambassadeur de la Gastronomie

« Nos destins sont liés. Lorsque je regarde l’état de notre agriculture nous avons des défis communs. La logistique, le partage de la valeur et la création de systèmes économiques robustes, ça se fera ensemble »,
Audrey Bourolleau, fondatrice d’Hectar

« Nous avons besoin de vous. Nous avons besoin de réseaux de distribution, mais pas que pour distribuer… Pour faire le relais de ce que nous faisons de différents… Il faut aussi qu’ensemble nous soyons capables de construire des filières sur un temps pluriannuel qui permette d’investir avec un minimum de sérénité  »,
Thierry Villelegier, directeur La Nouvelle Agriculture et partenariats commerciaux chez Terrena

« Ce qui va nous intéresser, nous industriels, c’est votre agilité, votre proximité des clients et surtout cette réponse que vous avez face à leur demande concernant des spécificités qui sont les nôtres »,
Arnaud Guesnet, directeur commercial de Bouvard Pro

« Nous avons vraiment besoin d'avoir au-dessus de nous le maillon qui va faire une partie de notre travail. On parle souvent de restauration collective au singulier ; moi, j'aime bien la mettre au pluriel car il y a des différences énormes et on ne peut pas se passer du maillon grossiste. Nous travaillons ensemble pour inventer le futur »,
Sylvie Dauriat, présidente de Restau’Co

« Si l’on dit à un client : « je vous apporte un steak qui coûte 70 €, un burger qui coûte 54 €… », ces mots ne veulent rien dire en réalité si l’on n’a pas la capacité d’expliquer de quoi il s’agit »,
Grégory Cohen, chef, entrepreneur et consultant

« Nous avons besoin d’une variété de produits et de températures pour arriver à confectionner des repas. Nous avons besoin d’une constance d’approvisionnement,  d’une dynamique en fonction des rythmes et des cycles de nos 10 enseignes, et d’un accompagnement des restaurateurs », 
France de Sambucy, directeur Achats, Logistique et Qualité chez Groupe Bertrand Casual Food

« Sachez que la CPME porte aussi des sujet de filières. Et j’ai mis l’alimentaire comme une des priorités de mon programme. Je dis souvent que l’industrie alimentaire est la première industrie de France. Mon souhait à la CPME, c’est que l’on prenne position sur les sujets alimentaires, comme sur les sujets du tourisme et de l’industrie »,
Amir Reza-Tofighi, nouveau président de la CPME

« Le nouveau nom que Fédalis adopte va l’engager et lui faire endosser encore plus de responsabilité. Un nom assez générique qui doit la pousser à se coordonner avec les autres fédérations alimentaires qui sont au sein de la CGF… Nous ne pouvons que l’encourager et veiller à ce que tout se passe dans la concorde et dans l’unité au sein de la CGF »,
Stéphane Antiglio, président des Grossistes de France

« Il faut vous faire entendre, tout le temps et partout. Ce sera parole contre parole. Ce sera capacité à exprimer son expérience contre capacité à exprimer son expérience, à valoriser ses métiers, et à ne pas se laisser enfermer dans l’idée où il y aurait d’un côté les humains et de l’autre les machines, d’un côté ceux qui produisent et de l’autre ceux qui profitent  »,
Antoine Armand, député de Haute-Savoie, ancien ministre de l’Economie et des Finances

« Ce nom va donner de la lisibilité et de la visibilité à ce que nous faisons. Un nom ne fait pas tout, loin de là, mais cela va être la plateforme pour beaucoup mieux structurer notre approche dans les semaines et les mois à venir. Nous n'allons pas travailler en solo, nous allons travailler encore davantage avec l'ensemble des fédérations qui représentent l'alimentaire, bien sûr au service de tous les acteurs de la filière »,
Pascal Peltier, directeur général de Metro France, vice-président des Grossistes alimentaires de France

« Nous avons une fédération qui est fantastique, qui réunit des entreprises de tailles très  différentes, dans une multitude de métiers. Ce nom se devait d’être emblématique et représenter toute cette diversité d’entreprises sur le marché »,
Yves Cebron de Lisle, directeur général délégué de Transgourmet France, vice-président des Grossistes alimentaires de France