Coca-Cola : des JO… et de l’emploi
A l'occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, Coca Cola Europacific Partners (CCEP) veut promouvoir l'emploi et la formation des jeunes.
« Coca-Cola et les jeux, c’est une longue et belle histoire », explique Claire Revenu, directrice générale des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 pour Coca-Cola.
Cette année, Coca-Cola Europacific Partners (CCEP) France fait des Jeux un véritable tremplin pour l’emploi en renforçant son partenariat avec l’Association Sport dans la ville, né en 2014. Objectif : « poursuivre les actions dans les quartiers prioritaires de la Politique de la Ville pour permettre aux jeunes, habituellement éloignés de ce type de manifestations, de pouvoir y prendre part », explique-t-on à la communication de l’entreprise. Dans le cadre du programme « Job dans la ville », axé sur l’orientation et l’insertion professionnelle, est prévu le financement de quelque 200 formations et diplômes professionnels reconnus dans l’encadrement et l’animation. Le renforcement du partenariat avec Sport dans la ville prévoit l’ouverture de 20 centres sportifs d’ici à 2024 pour « aller à la rencontre des jeunes et ainsi susciter des vocations », le financement de la formation BPJEPS de jeunes qui pourront valider leur pratique lors des séances sportives proposées par Sport dans la Ville et l’accueil de 50 jeunes stagiaires par an sur ces mêmes séances pour leur transmettre l’expérience des éducateurs.
Intégrer les jeunes
Enfin, pour intégrer les jeunes de l’Association dans les dispositifs des Jeux, Coca-Cola en France s’engage à offrir à 50 jeunes de Sport dans la Ville l’opportunité d’être relayeurs de la Flamme Olympique, à proposer à 50 autres des emplois en tant qu’activateurs pendant les Jeux ou encore à offrir des tickets pour les épreuves de Paris 2024 et ainsi inclure les jeunes dans plusieurs activations marketing. « L’idée est de privilégier les jeunes, de leur donner accès à des choses inclusives comme aller travailler pendant les Jeux », résume Claire Revenu.