
Année record pour Welcome Family

Leader européen des produits d’accueil pour les familles, Welcome Family a enregistré une année record grâce à de nombreuses collaborations. Frédéric Martz nous explique les clés de ce succès.
« Entre 2023 et 2024, notre chiffre d’affaires est passé de 9 M€ à 14 M€ », explique Frédéric Martz, président de Welcome Family. La marque française, leader européen des produits d’accueil pour les familles, de l’hôtellerie à la restauration, a connu une véritable montée en puissance. Dernièrement, c’est avec Burger King que Welcome Family collabore le plus.
Un succès qui s’explique par plusieurs facteurs
Si Welcome Family travaille majoritairement avec le secteur de la restauration rapide, c’est parce qu’elle suit les codes de ce marché en perpétuelle évolution. « Aujourd’hui, près de 70 % de notre CA provient des enseignes de la restauration rapide. Nous avons pu collaborer avec des géants du secteur comme McDonald’s ou Burger King, et nous nous adaptons en permanence à leur demande. Notre force, c’est notre originalité », ajoute Frédéric Martz.
Alors que les enseignes s’adaptent à la demande des consommateurs (sourcing des produits, respect du bien-être animal, etc.), Welcome Family a relocalisé près de 30 % de ses produits en Europe, en favorisant la France, pour suivre ces tendances. « Évidemment, certains produits ne peuvent pas être relocalisés, comme les casquettes par exemple, mais pour compenser cela, nous faisons la personnalisation de ces produits en France », partage Frédéric Martz.
Aussi, l’entreprise propose des produits faits sur mesure en un temps record, les rendant très compétitifs sur le marché national et européen.
Faciliter l’accès aux licences
Pour faciliter l’accès à certains produits ou goodies pour les restaurateurs, Marketing Création, qui possède Welcome Family, a créé une nouvelle cellule « Licences ». Actuellement, les premiers produits proposés sont des jouets pour les menus enfants de la licence « Les Sisters ». « Ce n’est que le début, nous voulons proposer beaucoup d’autres références », conclut Frédéric Martz
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