Alain Cojean se dévoile dans son livre Nourritures célestes

Alain Cojean se met à table... pour une séance de dédicaces, mercredi 27 avril.

JCS

Séance de dédicaces parisienne pour Alain Cojean, ce mercredi 27 avril, en compagnie de 120 invités, dans la convivialité et en toute simplicité, l’un de ses traits de caractère. C’est le jour où le fondateur éponyme de la célèbre chaîne de fast-casual fait paraître son livre Nourritures célestes – L’éveil d’un pionnier de la restauration (Mama éditions). Un ouvrage dans lequel « Un entrepreneur visionnaire raconte sans tabou son aventure professionnelle hors norme, son ouverture à la spiritualité et sa découverte de la communication avec l’au-delà », ainsi que le résume la quatrième de couverture.

Préfacé par Alexandre Mars, entrepreneur, philanthrope et écrivain, Nourritures célestes contient également une postface d’Henry Vignaud, écrivain et médium. Car si l’on connaît l’homme public, ancien directeur Recherche & Développement de McDonald’s France, restaurateur entrepreneur et précurseur avec la création en 2001 de l’enseigne Cojean -souvent imitée mais jamais égalée, qu’il cède et quitte en 2017-, le manager méticuleux et très proche de ses équipes, l’homme altruiste et créateur de la Fondation Nourrir, aimer, donner, on connaît moins ce Breton âgé de 60 ans (et demi !), discret, sensible et attachant, fils affectueux dont la vie bascule en 2013 avec la mort de sa mère adorée et bienveillante. Un événement qui l’amène à se tourner vers un médium renommé, lequel lui permet de recevoir des messages de celle qui l’a toujours soutenu, et de trouver « la preuve irréfutable qu’il y a une vie après la mort ».

Ce livre témoignage passionnant, émaillé de quelques photos -et dont la totalité des droits d’auteur sera reversée à des associations caritatives- en apprendra beaucoup, même à ceux qui pensent bien connaître Alain Cojean, sur les multiples facettes de sa vie tant professionnelle que très personnelle.

Morceaux choisis...

« Ma mère était mon socle, une force d’amour stable et éblouissante. Elle était réellement lumineuse. Elle était mon modèle et le restera à vie.» (p.18)

« Pendant toutes ces années aussi, jamais nous ne faisions de concessions sur la qualité. Les fournisseurs nous respectaient beaucoup pour cela. » (p.115)

« En cours de route, j’ai fait une erreur. Sans doute pas la seule mais certainement la plus importante : celle de m‘associer, pour notre développement, à ce que l’on appelle, un ancien ‘’grand patron’’… » (p.131)

« On dit souvent que le démarrage d’une entreprise est extrêmement prenant. C’est vrai. On ne pense qu’à cela, on y met toute son énergie, on dort peu, on ne fait que bosser. C’était vraiment le cas pour moi également. Mais je peux dire sans hésiter que la préparation de la cession de l’entreprise et de mon départ a été encore incomparablement plus prenante et stressante que son démarrage. » (p.247)

« Après six mois à l’hôpital, je suis très heureux d’en sortir. Cependant avant de rejoindre Fred chez lui, je vais rendre visite à mon ami Henry. Je reçois quelques messages de ma mère : ‘’21…21…21…Scooter… Tu as failli me rejoindre ‘’… » (p.274)

« Comment monter ce projet de restaurant gratuit pour les personnes démunies et payant pour celles qui le peuvent ? » (p.325)