Ouverture de la crêperie Buckwheat qui allie la Normandie et la Bretagne

Depuis des décennies, la Bretagne et la Normandie se livrent une guerre sans merci autour de la crêpe, pourtant la différence entre les deux recettes reste quasi imperceptible. Les deux régions privilégient le sarrasin pour la pâte mais les Normands y ajoutent une cuillère de calvados. Et finalement comme pour beaucoup de spécialités culinaires, la crêpe ne fait pas exception, il existe autant de recettes que de familles, et la crêperie Buckwheat compte faire découvrir celle de la famille Normandy Le Chantier.  

Des produits locaux 

L’essentiel sera dans la qualité des produits soigneusement sourcés auprès de producteurs 100 % français, engagés au quotidien pour le développement d’une agriculture locale et durable. Le secret de chaque recette résidera dans la qualité des ingrédients. Buckwheat fera tourner ses crêpières avec la crème de la crème locale. Pour commencer, une matière première 100 % Normande bien évidemment avec les farines biologiques des Moulins Roupsard, issues de mélanges de blés du Cotentin et du Bessin transformées dans les derniers moulins en activité de la région et qui ont à cœur de perpétuer la tradition de la meunerie, garantissant ainsi une traçabilité totale du champ à la crêpière. La crème et le beurre d’Isigny, des œufs fermiers bio, des carottes de Normandie et les fromages qui sont rigoureusement sélectionnés. Pour arroser le tout, des breuvages Normands seront présents avec les cidres de la Maison Sassy ou encore la bière Paillette blonde, brassée au Havre depuis 1596, et disponible ici en version pression.  

Le restaurant est accessible, doté de 60 places assises, pour un ticket moyen de 20 €. 2 chefs de rang et une crêpière font équipe pour démontrer le savoir-faire Normandy Le Chantier. Bien qu’éphémère, le restaurant n’annonce aucune date de fermeture. L’objectif ? Aller jusqu’au bout du projet.