Frecciarossa de Trenitalia : une escapade gustative à l’italienne
Le 15 décembre, Zepros Resto s’est levé à l’aube pour embarquer dans la Frecciarossa (flèche rouge) de Trenitalia, direction la Savoie. Départ à 7h30 de Paris pour une arrivée à 11h30 à Saint-Jean-de-Maurienne (73). Quatre heures de voyage à la découverte des saveurs italiennes proposées à bord… et l’occasion de se régaler des plats élaborés par le chef Carlo Cracco. Suivez-nous !
Depuis le 15 décembre, Trenitalia France a étendu ses lignes de Paris et Lyon vers la Savoie. À bord, Elior, acteur de référence en restauration, régale les voyageurs du FrecciaBistrò à la classe Executive, avec une carte qui s’inspire grandement de la tradition italienne. « L’approvisionnement s’effectue au départ de Paris, mais des ravitaillements sont possibles à Lyon et bientôt à Marseille lorsque la desserte initiale entre Paris et Milan, via Lyon et Chambéry, interrompue depuis l’éboulement survenu l’été dernier dans la vallée de la Maurienne, reprendra, fin du premier trimestre 2025 », précise Marco Caposciutti, président de Trenitalia France. Alors, aucun risque de rupture de stocks !
Une halte gourmande à chaque instant
Installé dans la voiture centrale, le FrecciaBistrò propose un éventail de délices sucrés et salés : pizzas, paninis gourmands (dès 5,50 €), paninis (5,50 €) salades fraîches ou encore planches apéritives. Pour les amateurs de plats végétariens ou sans gluten, Trenitalia a tout prévu. Le café ristretto et le capuccino sont, bien sûr, incontournables pour un réveil en douceur.
Pour encore plus de praticité, deux options de service à la place sont disponibles : une vente ambulante avec une sélection de sandwichs et boissons, ou le service Easy Bistrò, qui permet de commander directement depuis son siège et de se faire livrer sans surcoût.
Mais pour les voyageurs qui optent pour la classe Executive, l’expérience prend une tout autre dimension. Élégance des matières et raffinement italien attendent les voyageurs dans une voiture équipée de seulement 10 fauteuils en cuir à large assise de 74 cm de large, entièrement inclinables.
Ces voyageurs chanceux bénéficient aussi de l'attention particulière du personnel de bord. En effet, un agent de restauration se tient à disposition pendant toute la durée du voyage.
Comme des coqs en pâte
Pour l’occasion, le chef Carlo Cracco, grand nom de la cuisine italienne récompensé par le Guide Michelin, a imaginé des menus originaux proposés en exclusivité aux voyageurs avec des ingrédients locaux, de saison, et une créativité 100 % italienne servis à la demande dans de la vaisselle élégante depuis le petit déjeuner jusqu’au souper ! Il suffit juste de choisir au gré de ses envies : bœuf au poivre à la “fornacina” et pomme de terre douce au romarin, le plat fétiche de Carlo Cracco ; pâtes Sedanini à la tomate (matière première produite par des agriculteurs italiens, de filière tracée jusqu’à l’origine) ; piadina au jambon cru et fromage (matière première produite par des agriculteurs italiens, de filière tracée jusqu’à l’origine). Sans oublier les fameux dolche italiens : gâteau à la citrouille et crumble à l’amaretto, petit gâteau « Fluffy cake » au cacao - sans gluten et lait… Et pour les plus sérieux, l’incontournable salade de fruits. Et pour le petit déjeuner, du cornetto à l’assiette de charcuterie et de fromage, en passant par le pain de campagne sans gluten recouvert d’une épaisse couche de confiture à l’abricot, la compagnie italienne n’a oublié personne, les becs sucrés comme les becs salés.
« Pour l’élaboration de sa carte, le chef a privilégié des recettes légères et saines qui varient selon les saisons, l’heure et les envies. Nous avons pris en compte les retours et suggestions clients suite à un sondage des voyageurs », lance fièrement Marco Caposciutti. Et, cerise sur le gâteau, le repas est inclus dans le prix du billet.
Engagement pour l’environnement
Trenitalia s’est engagé dans une démarche écoresponsable en supprimant les emballages plastiques et en utilisant des matériaux recyclés ou compostables. Un effort pour minimiser l’impact environnemental sans sacrifier la qualité, ni augmenter les prix des produits standards, comme le café à 1,50 €.