Kuti, ode à la street-food panafricaine

Béatrice Vigot-Lagandré
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Joss Lecoq KUTI_DR MAKI MNOUKIAN BD2

Poulet frit, burger oui mais à  la sauce panafricaine.

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Kuti, ouvert cet été, se veut « un chop bar, lieu de rencontre où l’on vient boire, manger, échanger », se réjouit Antoine Joss-Lecoq. Fort d’une expérience réussie à Montreuil, le dirigeant a investi 300 000 € pour ouvrir ce lieu de 70 m² offrant 35 places assises.
Dans un cadre épuré et lumineux, on vient se régaler d’une « nouvelle cuisine africaine, d’inspiration street food, et retravaillée dans l’assiette », explique le fondateur. Ici, le masa (galette à la farine de riz) est roi ! Poulet frit, burger, ragoût de banane plantain, salade kényane, masa sucré ou beignet à la banane viennent compléter la carte, sans oublier jus et cocktails maison, bières camerounaises et vins français. 
 

Tout est fait maison, à partir de produits locaux lorsque c’est possible. Les épices sont sourcées en Afrique, et bananes plantain ou gombos sont fournis par un détaillant à Paris, axé à la fois sur le BtoB, mais aussi BtoC. Pour 2025, Kuti table sur un CA de 600 000 € (ticket moyen aux alentours de 20 €). 30 % du CA est réalisé en VAE le midi, un canal que compte développer l’enseigne.

Béatrice Vigot-Lagandré
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