Le Grand Repas célèbre le partage dans les territoires à travers un même menu

Pour son 4e opus, qui se tient cette année le jeudi 19 octobre, Le Grand Repas grandit encore un peu plus. Outre ses deux grand ambassadeurs, le chef Thierry Marx et Guillaume Gomez, représentant personnel du Président de la République pour la gastronomie, l'alimentation et les arts culinaires, l’événement est soutenu par la chef du Negresco (Nice), Virginie Basselot, marraine nationale de cette édition 2023. Cette année, ce sont 36 chefs parrains, 36 menus locaux différents et 60 départements qui participent à l’opération. 

Grande fête culinaire nationale, Le Grand Repas « à partir du local », fédère une fois par an, le même jour, les acteurs de la restauration collective et de la restauration commerciale traditionnelle, pour proposer aux citoyens d’un même territoire de partager un même menu. Au total, ce sont plus de 1 000 acteurs de la restauration et de l’alimentation impliqués au quotidien  dans la sensibilisation des citoyens pour une alimentation responsable, saine, à base de bons produits, bien cuisinés et respectueux de la planète. Chaque menu est élaboré à partir de produits locaux et de saison par une marraine ou un parrain, chef de territoire. « C’est la somme des événements locaux qui en fait un événement national », expose Emmanuel Hervé, président de l’association Le Grand Repas. Une belle occasion de représenter la diversité des produits et des patrimoine culinaires locaux. 

« C’est un mouvement fort, bon pour tous. Je suis associé profondément à ce mouvement du Grand Repas, parce que c’est pour l’intérêt général et pour faire en sorte que l’on ait tous accès au bon à un moment donné et que l’on puisse tous se rassembler et faire union », commente notamment Thierry Marx. « Je suis ravi que la restauration collective participe depuis le début à l’initiative, car, avec Thierry, nous travaillons depuis de nombreuses années à faire reconnaître et valoriser les acteurs de la restauration collective. C’est 18 millions de repas par jour, ce n’est pas rien ! Si l’on veut changer les choses, on doit passer par ces acteurs de la restauration collective car ce sont eux qui nourrissent le plus grand nombre de personnes et ce sont eux qui peuvent offrir des débouchés à nos producteurs et nos filières », souligne, entre autres, Guillaume Gomez.