Class'croute passe aux frigos connectés

Myriam Darmoni
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Quelques semaines après avoir lancé son service d'e-cantine, Class'croute poursuit sa digitalisation et offre un service de frigos connectés, accessibles 24h/24.

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Quelques semaines après avoir lancé son service d'e-cantine, Class'croute poursuit sa digitalisation et offre un service de frigos connectés, accessibles 24h/24.

C'frais, c'est le nom de cette nouvelle offre proposée par Class'croute : un frigo rempli chaque matin, accessible et disponible 24h/24. L'offre est celle de Class'croute : des salades, des plats chauds, sandwichs, bowls, pâtes et desserts. Pour l'entreprise, pas d'engagement, "il y a juste un loyer à payer, défini selon chaque entreprise", précise Sebastien Chapalain, président de Class'croute.
Pas de pré-commande, pas d'appli, pas d'intermédiaire. Les actifs ouvrent le frigo avec leur badge, choisissent le produit, et règlent sur place, par carte bancaire ou carte Tickets Restaurants ou Swile. Au niveau des prix, "ce sont les mêmes que ceux pratiqués sur nos lieux de vente, puisque nous n'avons pas d'intermédiaire, nous avons nos propres recettes et nos propres cuisines", détaille le président.
"Le lancement de nos frigos connectés C'frais est le prolongement naturel de nos 30 années d'expérience en restauration à destination des actifs. Nous poursuivons la digitalisation de notre activité pour adapter nos services aux besoins spécifiques des actifs. C'frais est aussi une nouvelle offre qui permettra à l'enseigne de recruter de nouvelles entreprises clientes et ainsi consolider notre développement", explique Sébastien Chapalain.
Concrètement ces frigos sont gérés et installés par les franchisés de l'enseigne. Une solution facile à mettre en place pour les entreprises, seul ou en complément d'un service de restauration collective. Actuellement en phase de test, chez Ecole 42, l'espace de coworking Morning à La Défense et chez Class'croute même, ces frigos connectés, tout comme l'e-cantine "sont déjà un succès. Nous préparons l'avenir et notre développement", conclut Sébastien Chapalain.

Myriam Darmoni
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