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La reprise : opportunité et/ou stress ?

Claudine Martinez
Back to business ! C'est la reprise ! Qui pourrait même être plus forte que prévue. Ce sont bien ces opportunités nouvelles qui animent les esprits… Qui s'échauffent… tout en stressant. Car comment s’organiser pour redémarrer ? Comment recruter alors qu'une pénurie se profile à l'horizon ? Comment redonner du sens et de la motivation aux équipes suite à une période de travail partiel et/ou à distance ? Comment s’assurer que l’on ne sera pas dépassé par l’activité sans avoir les ressources nécessaires ? C'est un flot d'incertitudes qui submergent les dirigeants, qui doivent impérativement se faire accompagner pour mettre en place les solutions adéquates.
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Après les PGE, les PSE… les recrutements ! La vie n'est pas un long fleuve tranquille pour les entreprises obligées de mener tambour battant des chantiers importants en matière de RH et ce, sans beaucoup de visibilité. Bien sûr, la transformation digitale est désormais au centre de leurs préoccupations. D'ailleurs, les chiffres de l'Apec montrent bien un redémarrage des embauches porté par l’informatique. Avec 57 300 emplois prévus en 2021, le volume des embauches de cadres informaticiens devrait progresser de 22 % par rapport à l'année précédente.

La chasse aux véritables talents digitaux, un enjeu crucial

La crise sanitaire est passée par là et a plus que jamais révélé la nécessité pour les entreprises françaises d'accélérer leur transformation numérique.

Mais quels sont les bons profils à recruter, au vu des nouvelles compétences attendues ? ( avec la généralisation des solutions de communication unifiée, le renforcement des solutions de cybersécurité, l'accélération de la migration vers les environnements Cloud, …)

Plus d'offre que de demandes

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Seconde question, comment attirer ces profils ? La pénurie de candidats reste la principale difficulté de recrutement pour 77 % des recruteurs potentiels selon l'Apec. Et selon une autre étude, de Ausy, cette fois, près d'un ingénieur sur deux serait prêt à refuser un poste si l'employeur ne propose pas le télétravail. Or, la volonté des dirigeants est plutôt de faire revenir les collaborateurs sur site… les entreprises sont prêtes à faire des concessions. Aux Etats-Unis, la solution a consisté à proposer des salaires supérieurs, pour décider les candidats à franchir le pas. "La France semble prendre le même chemin, nous commençons à voir des offres mieux valorisées", confirme Maryvonne Labeille, présidente du cabinet Labeille Conseil.

Favoriser l'intégration du nouveau manager devient clé

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Troisième question qui se pose, comment intégrer les futurs collaborateurs tout en manageant ses équipes et ses clients ? C'est une vraie question de fond, surtout si l'entreprise a procédé auparavant à un plan de licenciement, pour limiter les coûts. Il y a là un vrai défi pour la réorganisation de l'entreprise. "Sur ce sujet, nous insistons dans nos recommandations, sur l'importance de l'onboarding. Bien intégrée, la nouvelle recrue trouvera rapidement sa place au sein des équipes et pourra plus facilement mener à bien sa mission", précise la dirigeante.

Dans ce contexte, les recrutements n’ont jamais été aussi importants et stratégiques. Avec deux conditions sine qua non : la compétence des nouvelles recrues est vitale, pour permettre une bonne productivité et donc une belle relance économique; aussi, les qualités d'adaptation, d'écoute et de savoir-être (les fameuses soft skills) sont tout aussi importantes pour permettre à l'entreprise de traverser le mieux possible la crise économique qui s'annonce.

Claudine Martinez
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