Les chantiers du Snarr pour 2021

Myriam Darmoni
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L'assemblée générale du Snarr qui s'est tenue le 14 octobre à la Maison des Polytechniciens, à Paris, a été l'occasion de revenir sur l'année 2020 et d'éclairer les adhérents sur les chantiers portés en 2021.

L’assemblée générale du Snarr s’est tenue le 14 octobre, à La Maison des Polytechniciens, à Paris. Alexis Bourdon, son président, a rappelé en introduction combien « l’année 2020 était inédite. Nous nous sommes adaptés et organisés dans l’urgence en créant une cellule de crise qui a pu interagir au plus près avec les organisations professionnelles et le gouvernement. »

Les cinq commissions (ressource humaine, formation, environnement, sûreté alimentaire, juridique et fiscale) ont présenté leurs travaux et leurs objectifs.

Si le point a été fait sur l’avancée de la réévaluation de la grille salariale, l’obtention d’un congé spécial enfant malade ou les enjeux de la formation, c’est surtout le travail sur la transition écologique qui a le plus interpellé les adhérents et entraîné un grand nombre de questions. La commission, présidée par Éric Laubouel, est d’ailleurs divisée en trois sous-groupes : déchets et emballages, gaspillage, et approvisionnement et filières. Son objectif est de mettre en œuvre les lois Egalim et Agec.

Véronique Hamon, présidente de la commission juridique et fiscale, a précisé qu’un travail de réflexion sur la définition de la terrasse était en cours, ainsi que la recherche de solutions alternatives aux chauffages. Le syndicat est très attentif à l’application des mesures d’aides gouvernementales. « L’obtention des PGE et la mise en place des reports d’échéance des prêts ont été longues et compliquées », explique Véronique Hamon. Enfin, en 2021 la fin des titres-restaurants papier est imminente et il est « difficile de discuter avec les acteurs émetteurs de ces titres, mais nous y travaillons », termine la présidente de la commission.

Alexis Bourdon a conclu en disant que « vivre avec le Covid-19, c’était être attentif à la santé des salariés et des clients de la rapide. Nous avons vu les clients être prêts à patienter deux heures pour un cheeseburger, vous aussi vous nous avez manqué ».

Myriam Darmoni
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