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Plato, l’ami du petit-déjeuner

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Marko Radin, directeur Food & Beverage, avec Plato

L’hôtel parisien Le Méridien Étoile utilise depuis quelques mois trois robots de service pour le débarrassage du petit-déjeuner. Retour d’expérience avec Marko Radin, son directeur Food & Beverage. 

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Œufs brouillés, céréales ou encore salade de fruits, le buffet du petit-déjeuner nécessite une grande quantité de vaisselle, synonyme d’un lourd port de charge et de fréquents aller-retours avec le back-office. A l’Hôtel Le Méridien Etoile, une des plus grosses capacités hôtelières de la capitale avec 1 025 chambres et suites, ce sont entre 600 à 800 petits-déjeuners qui sont servis chaque jour et qu’il faut débarrasser presque entièrement manuellement. Situé en face du Palais des Congrès, à deux pas des Champs-Élysées et de l’Arc de Triomphe, l’établissement quatre étoiles accueille une clientèle d’affaires dans une atmosphère élégante au design moderne. Un cadre épuré et une décoration de goût où les charriots font taches. La solution est arrivée en janvier dernier sous la forme de trois robots de service qui interviennent quotidiennement pendant toute la durée du repas, de 6h30 à 11h00. 

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Restaurant Le Méridien Etoile

Proposé, pas imposé

Prénommés Plato, ces nouveaux commis se sont bien intégrés au sein des équipes. Sans doute parce qu’ils ne leur ont pas été imposés, précise Marko Radin, le Directeur Food & Beverage de l’hôtel, qui emploie près de 120 personnes pour la restauration et l’évènementiel : « avec l’accord de la direction générale et du Comité Social et Économique, le projet a été lancé comme un test, ce qui permis de lever les quelques réticences et peurs des employés les moins à l’aise avec les nouvelles technologies ». Tous l’ont compris aujourd’hui : l’assistant n’est pas un remplaçant et il est très facile à utiliser. Les nombreux postes ouverts, à tous les niveaux, restent d’ailleurs toujours vacants. 

Assistant et partenaire

Pendant que les hôtes se délectent des nombreux mets proposés, le cobiot avale sans sourciller les kilomètres, ses trois plateaux remplis d’assiettes, de bols et de couverts. Sur la seule période du 1er mars au 21 avril, les trois runner ont parcouru 95,17 kilomètres, équivaut de plus de deux marathons ! Le travail des serveurs est allégé, au sens propre comme figuré. Car outre un soulagement physique, Plato a offert au personnel un gain de temps pour le service, le cœur de leur métier. « Les interactions avec les clients sont plus fréquentes et approfondies, nous sommes davantage en mesure de répondre aux demandes particulières » se félicite le responsable. Après seulement quelques mois, les trois cobiots sont considérés comme des membres à part entière de l’équipe. Bien conscients de l’aide qu’ils leur apportent, tous font attention à ne pas les gêner, les stopper ou les ralentir, « comme pour un collègue ». Et personne ne s’offusque s’ils leur volent parfois la vedette auprès des clients, ravis de les filmer et de les prendre en photo. Aux salariés et aux clients, petits et grands, Plato donne le sourire. Une bonne manière de commencer la journée.

« Les présentations sont faites mais les questions se bousculent sans doute dans votre tête : à quoi sert-il ?

Est-il facile à utiliser ? Pourrais-je l’essayer ? Pour obtenir des réponses, rendez-vous ici. »

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