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Yoomy Food Group : de la raclette au multimarque

Chloé Labiche
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Les Fondus de la Raclette, qui détenait avant la crise du Covid trois restaurants en propre à Paris et un autre en franchise à Bruxelles, a revu complètement son modèle et lancé l’entité Yoomy Food Group dont la vocation est de développer des marques thématiques et abordables qui invitent au voyage.
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« C’est une très belle aventure qui se poursuit et surtout qui se transforme », résume Mathieu Dacheville, co-fondateur avec Sylvain Breton du concept Les Fondus de la Raclette. L’entreprise, qui détenait avant la crise du Covid trois restaurants en propre à Paris et un autre en franchise à Bruxelles, a revu complètement son modèle et lancé l’entité Yoomy Food Group dont la vocation est « de développer des marques thématiques et abordables qui invitent au voyage et sont adaptées à la livraison ».

Une stratégie démarrée l’année dernière avec deux unités Les Fondus de la Raclette, celles du 11e et du 18e arrondissement, qui ont basculé vers un nouveau concept italien baptisé Pasticcio. Ce dernier s’engouffre dans la veine à succès de cette offre festive, qualitative et transalpine incarnée par des acteurs comme Big Mamma, Gruppomimo ou Tripletta.

L’équipe vient également de racheter une des enseignes pionnières en matière de diner américain à Paris : Breakfast in America qui compte deux restaurants dans la capitale. L’objectif est de s’appuyer sur la marque tout en la repositionnant dans la mouvance US contemporaine afin d’en ouvrir dans toute la France.

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Rachat et franchise

Yoomy Food Group, qui a fait rentrer la BPI et La Caisse d’Épargne à hauteur d’1M € dans son pool de financement, entend se développer en franchise à partir de 2023 mais veut d’abord atteindre le seuil critique de trois points de vente par marque.

Les Fondus de la Raclette, dont le périmètre a fondu récemment, sera la première à se redévelopper avec des ouvertures qui devraient intervenir dans des quartiers plus porteurs. « Nous croyons beaucoup au concept qui a cartonné cette année. Il y a peu d’acteurs sur cette verticale mais nos emplacements n’étaient pas les meilleurs. Les touristes sont fortement générateurs de chiffre d’affaires et atténuent la saisonnalité de l’offre », explique Mathieu Dacheville.

L’entreprise qui réalisait 2,5 M€ de chiffre d’affaires en 2019 espère atteindre, avec cette nouvelle holding, 5 M€ à 6M € en 2023.

Chloé Labiche

Chloé Labiche
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