
Maison Dourthe regarde l’avenir avec confiance

Arrivée d’une directrice générale et écriture d’une nouvelle feuille de route pour le célèbre vigneron négociant du Bordelais.
Nouvelle feuille de route
Nouvelle direction générale chez Maison Dourthe, avec l'arrivée, il y a environ cinq mois, de Pénélope Godefroy, passée auparavant chez Artémis Domaines, Château Siaurac & Co, Legrand & Associés, et, plus récemment, Château d’Yquem. Elle vient écrire une nouvelle feuille de route et accompagner le développement en cours de la maison, mis en œuvre par Valentin Jestin, directeur général adjoint, et les équipes des propriétés et des bureaux. Les deux dirigeants, accompagnés d’Audrey Seitz-Dubourdieu, directrice communication et RP, rencontraient ainsi récemment la presse spécialisée afin de mieux faire connaître cet acteur du paysage bordelais, à la fois propriétaire vigneron (8 propriétés, soit environ 500 ha), et négociant (créateur de marques originales depuis 1988 avec notamment le célèbre N°1 décliné en trois couleurs). Si l’export pèse 55 % du chiffre d’affaires, l’activité France se répartit quant à elle à parts égales entre les circuits CHR et GMS.
Trois ambitions
« Nous avons décidé de regarder l’avenir de manière confiante et exigeante », annonce la directrice générale qui fixe trois ambitions : 1-Préciser toujours plus le profil stylistique des vins de la maison, afin de faire « des vins qui surprennent, qui inspirent et qui respirent leur identité ». 2-Reserrer les liens avec les partenaires commerciaux, afin de se rapprocher des consommateurs et des marchés. 3-Remettre l’humain au centre de l’aventure collective de la maison, afin de créer de la valeur pour les équipes et les partenaires, et ainsi contribuer au bien commun comme au rayonnement de Bordeaux.
Parmi les vins de Maison Dourthe :
Château La Garde - Pessac-Léognan (54 ha)
Château Le Boscq - Saint-Estèphe (20 ha)
Château Belgrave - Haut-Médoc - Grand Cru Classé 1855 (50 ha)
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L’accord mets et vin entre Château Le Boscq 2018 - Saint-Estèphe et le Filet de bœuf Wellington, fricassée de champignons sylvestres, jus perlé, lors du déjeuner servi au restaurant Laurent (Paris 8e).

