Avec leurs graines de folie, Michel & Augustin ambitionne de pénétrer les CHR

Myriam Darmoni
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Michel et Augustin Graines de Folie

Dans un marché de l'apéritif très dynamique, Michel & Augustin présente des nouveautés très créatives et innovantes. Du vrac aux CHR, il n'y a qu'un pas qu'ils comptent bien pénétrer. Leurs "petites graines de folie" pourraient bien sérieusement concurrencer cacahuètes et chips à l'heure de l'apéro.

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Un marché d'1,3 Md€

Avec une progression de 8 % sur 2019, le marché de l’apéritif est un secteur qui ne connaît pas la crise. Avec la crise, plus de 90 % des Français ont adopté ce moment convivial. En 2021, c’est le marché des PSA pèse 1,3 Md€, en progression de 4 % par rapport à 2020 (source IRI -FY 2021). Un marché que connaît bien Michel & Augustin pour l’avoir pénétré en 2013 avec ses gammes de sablés aux fromages AOP. Depuis « les Trublions du Goût » se sont taillé une belle part et ne comptent pas s’arrêter là. « Aujourd’hui, l’apéritif dînatoire est le repas préféré des Français, pour 63 % d’entre eux. Et les perspectives de développement sont incroyables. La croissance de Michel & Augustin, + 4 % de croissance s’explique par notre capacité à innover. Nous sommes la 3e marque nationale la plus contributrice à la croissance sur le marché des PSA en 2021 », décrypte Sébastien Guillon, CEO de l’entreprise. 
Et l’innovation, la marque connaît et c’est même ce qui la distingue. Aussi pour continuer sur sa lancée, elle présente des « graines de folie », un mélange de graines enrobées et assaisonnées, sorte de granola salé, qui ne ressemble à rien d’existant sur le marché et très addictif… « Nous avons développé ce produit pour le marché du vrac. Il a fallu des dizaines d’essais pour trouver le bon assemblage de graines, en partant d’une base de noix de cajou, car elles cartonnent sur le vrac, le produit enrobant (en l’occurrence du sirop de riz) et les assaisonnements », poursuit le dirigeant. Cajun (mélange maison), poivre et piment. 
Pour la RHD, 10 % des ventes, seul le mélange cajun est distribué pour le moment. Au vrac, s’ajoute un sachet snacking de 40 g. Un contrat a déjà été signé avec Newrest qui les distribuera dès le mois de juin à bord des trains. « Nous ambitionnons aussi de les proposer avec nos biscuits salés dans les bars pour proposer une alternative aux cacahuètes et autres chips. Nous sommes actuellement en phase de test dans plusieurs établissements parisiens », explique Sébastien Guillon
 

Myriam Darmoni
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