Sponsorisé par La pintade, le goût du bon

Ce chiffre qui ne doit pas rester de marbre

Estelle Parfus
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Marc Alès

30 %, c’est le taux de pintades commercialisées en 2021 par les établissements de la restauration hors domicile et 70 % en grande distribution (hypermarchés, supermarchés, hard discounts, etc.) alors qu’avant la crise liée à la COVID, la pintade était prisée du secteur de la restauration hors domicile qui en assurait plus de 50 % des débouchés.

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Notre souhait le plus cher ? Retrouver l’équilibre d’avant la crise COVID et séduire les professionnels, afin qu’ils laissent de nouveau plus de place à notre charmant volatile sur leur carte en toutes circonstances. 

Car oui, la pintade peut être dégustée tout au long de l’année ! En été, elle peut être cuisinée avec légèreté au barbecue ou en papillote, en hiver, elle se rend réconfortante, concoctée à basse température au four ou en cocotte.

Souffrant d’une méconnaissance sur notre territoire, cette volaille de caractère fait partie intégrante du patrimoine national, 100 % élevée en France, et surtout, elle délivre une texture et des saveurs originales et envoutantes.

En effet, son goût est une alternative de choix pour vous différencier. Animer sa carte avec un produit sortant des sentiers battus, qui se cuisine facilement et qui offre un rendement compétitif, c’est une belle voie vers la réussite. 

Nous avons rencontré deux chefs qui affectionnent la pintade : l’un se nomme Marc Alès, Maitre Ouvrier de France 2020 et enseignant-formateur à Ferrandi Paris, et Corentin Rochez, chef à domicile en Belgique. Ils nous livrent tous les deux les bonnes raisons qui les poussent à proposer de la pintade à leur carte.


Découvrez leur témoignage en vidéo !

[INTERVIEW] La pintade à la carte ? Rencontre avec 2 chefs qui affectionnent notre belle volaille
Estelle Parfus
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