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Sponsorisé par Plato

Plato, « arme » de séduction massive

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Plato

Le robot de service améliore les conditions de travail des serveurs, une des clefs pour les recruter et les conserver. L’exemple avec Yoj, une enseigne de cantines japonaises installée dans la cité phocéenne.

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Lorsque Archam Babayan croise Plato dans les allées du Sirha Lyon au début de l’année, il est tout de suite convaincu. « Sympathique et ludique », le robot de service va lui permettre d’offrir de meilleures conditions de travail à ses salariés. Le co-fondateur en 2014 de l’enseigne de restauration japonaise Yoj le sait : réduire la pénibilité constitue une des réponses aux difficultés de recrutement du secteur. 


Depuis le mois de septembre, un Plato officie dans un de ses quatre établissements marseillais, à la Valentine, où sont servis entre 150 et 200 couverts midi et soir. La commande et le service sont toujours assurés par les quatre personnes en salle, le runner transportant à leur place les plats, pleins ou vides. Il leur évite ainsi le port des charges lourdes, à l’origine de mal de dos (lombalgies et dorsalgies) et de troubles musculo–squelettiques (TMS) qui touchent particulièrement les mains, les poignets et les doigts (38 % des TMS), les épaules (22 %) et les coudes (22 %). Les manutentions manuelles sont également responsables de 39 % des accidents dans la restauration traditionnelle. Près de deux millions de jours de travail sont ainsi perdus à la suite d’accidents du travail ou de maladies professionnelles chaque année selon l’Assurance Maladie. 

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Yoj Marseille la Valentine

Plus de temps pour le service

S’il a fallu un peu de temps à l’équipe pour prendre le réflexe de toujours solliciter le commis à roulettes, elle n’a jamais craint d’être remplacée. « Outre un confort de travail accru, Plato lui permet de consacrer plus de temps aux échanges avec le client, de renforcer le lien humain auquel nous sommes très attachés » assure le responsable.

Même acceptation du côté des clients, petits et grands. Les premiers adorent et les seconds, d’abord agréablement surpris, s’habituent ensuite très vite, « comme s’il avait toujours été là ».

Et aux rares récalcitrants, Archam Babayan compare l’intérêt du robot avec celui du lave-vaisselle : un outil qui effectue une tâche pour laquelle hommes et femmes n’apportent aucune valeur ajoutée. 

 

« Les présentations sont faites mais les questions se bousculent sans doute dans votre tête : à quoi sert-il ?

Est-il facile à utiliser ? Pourrais-je l’essayer ? Pour obtenir des réponses, rendez-vous ici. »

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