En route et sur des roulettes vers le Bocuse d’Or

Les Jeux olympiques sont bel et bien lancés ! Non pas ceux qui se disputent un marteau ou un poids à la main (quoique) mais ceux qui se pratiquent avec un couteau bien aiguisé, un fouet ou une spatule. Depuis 1987, ils ont lieu tous les deux ans et la finale se joue toujours à Lyon, fief incontesté de la toque multi-étoilée qui les a créés. Le Bocuse d’Or, c’est leur nom, est incontestablement le concours gastronomique le plus prestigieux du monde. 
En participant aux sélections Europe, le petit commis Plato entre donc dans la cour des grands. Partenaire de l’évènement, le groupe URG a mis son Cobiot au service de la réussite du lancement d’un véritable marathon planétaire : le concours européen ouvre le bal des épreuves qualificatives continentales. Ces dernières détermineront les 24 pays qui participeront à la grande finale qui se tiendra les 26 et 27 janvier 2025 en marge du Sirha Lyon.
 

Viande de renne, aquavit, skrei, une variété norvégienne de cabillaud, ou encore coquille Saint-Jacques de Frøya : les deux épreuves imposaient de travailler des produits locaux. Une contrainte qui a réussi aux pays du Nord. Ils trustent le podium qui couronne, dans l’ordre, le Danemark, la Suède et la Norvège. La France, représentée par le chef Paul Marcon, se hisse à la 5e place. Elle compte ainsi parmi les dix équipes qualifiées (sur vingt) pour la finale. Il faut dire que l’Auvergnat n’est pas étranger à la gastronomie scandinave puisqu’il a travaillé deux ans au sein d’un restaurant étoilé de Stockholm. 

Le deuxième jour de la compétition, Plato a aidé l’équipe du traiteur pour le débarrassage du déjeuner, multipliant les aller-retours entre l’espace VIP et la plonge. Une aide non négligeable pour les serveurs que l’importante économie de pas a très nettement soulagés. L’occasion aussi pour URG d’échanger avec les nombreux chefs présents sur l’utilité du robot. « Jérôme Bocuse, Président du Bocuse d’Or, Davy Tissot, gagnant français de l’édition 2021, Alice Gundersen, aux fourneaux de l’ambassade de France en Norvège, ou encore le médiatique chef et animateur Norbert Tarayre ont tout de suite perçu Plato comme une réponse à leur problématique opérationnelle — déléguer les tâches ingrates et optimiser l’organisation —, mais aussi à la nécessité de vivre avec son temps et les nouvelles technologies » se réjouit Audrey Bost, Marketing Manager, Hospitality and Retail chez URG. 

Et si la prise en main de Plato est aussi aisée à Trondheim qu’à Paris, New York ou Berlin, c’est que le robot, comme la cuisine, parle un langage universel. Déjà disponible en cinq langues, son sourire et son intérêt se passent de mots et se comprennent sur tous les continents.