Le 9 juin : tous au resto (et en terrasse le 19 mai) !
Dans une interview donnée à la presse régionale, Emmanuel Macron a annoncé le calendrier de déconfinement et de réouverture, notamment du CHR. 1re étape le 19 mai avec la réouverture des terrasses, et le 9 juin des restaurants.
La date aurait dû être annoncée vendredi, nos confrères du Parisien ont décidé de publier l’interview qu’Emmanuel Macron a donnée à la presse régionale dans laquelle il dévoile le calendrier de réouverture. TOUTES les réouvertures : les collèges, les lieux culturels et alléluia des bars et restaurants.
D-Day le 9 juin !
Le déconfinement se fera en plusieurs étapes. Et celle qui nous intéresse le plus est bien évidemment celle des bars et restaurants : le D-Day aura lieu le 9 juin. Ce jour-là, la réouverture des cafés et restaurants aura lieu, conditionnée au respect des jauges et protocoles adaptés à chaque lieu et activité, avec des tablées de 6 personnes maximum. Ce même-jour, le couvre-feu passera à 23 h, les salles de sport aussi rouvriront et le télétravail sera assoupli.
Les terrasses dès le 19 mai et jusqu'à 21 h
Les lieux de culture pourront rouvrir le 19 mai (dans une limite de 800 spectateurs en intérieur et 1 000 à l’extérieur) et on pourra aller profiter des terrasses jusqu’à 21 h, couvre-feu oblige, qui lui prendra fin le…30 juin !
« Quelle excellente nouvelle que ce calendrier. Enfin. C'est un grand soulagement que ressentent nos adhérents mais qui ne compense pas la réalité du mur du dettes construit au fil des mois, malgré un quoi qu'il en coûte qui n'a pas accompagné les indépendants et les petites entreprises aussi bien que les grandes. Avec des chiffres en baisse jusqu'à - 40%, les dirigeants restent toutefois sceptiques pour les mois qui viennent et l'absence de touristes. Maintenant que le calendrier est là, nous demandons à l'Etat une vraie réactivité quand à la définition des indemnités, et non des aides, qui compenseront les pertes d'une reprise a minima. Garantissons à notre pays la reprise d'une vie culturelle comme de loisirs, une réalité économique à porter encore pour que chacun puisse vivre de son travail », déclare Marc Sanchez, secrétaire général du SDI concernant le retour à une vie moins contrainte.