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Le gros appétit de Junk

Béatrice Vigot-Lagandré
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Née fin 2022, l’enseigne Junk n’en finit plus de grandir et compte aujourd’hui sept restaurants en France. 

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Née fin 2022, l’enseigne Junk n’en finit plus de grandir et compte aujourd’hui sept restaurants en France. Junk peut être fier de sa réussite. Après un premier restaurant ouvert en octobre 2022 rue Montmartre à Paris, l’enseigne a dupliqué son concept et compte aujourd’hui 3 adresses en Ile de France (Beaugrenelle, rue Montmartre et Neuilly-sur-Seine) et 4 en province (Lille, Lyon, Bordeaux et Strasbourg). Les cofondateurs Majed Mansour et Wissem Ben Amar n’en sont pas à leur premier coup d’essai. A la tête de Junk group (ex-My Belly Group), ils détiennent également l’enseigne Graine (bar à couscous), Meatpacking (smash burgers) et Puffy cookies, avec, au total, 18 points de vente et 170 salariés.

Un smash burger minimaliste

« Junk s’adresse avant tout aux puristes du smash burger, avec peu d’éléments et un maximum de goût », explique Majed Mansour. Les ingrédients sont soigneusement sourcés (viande limousine et charolaise en circuit court, pain français) et la carte résolument courte : une seule viande mais un format décliné du S au XXL, un burger veggie et un « burger du moment ». Selon leur emplacement, les points de vente ont une surface oscillante entre 50 et 150 m² et le ticket moyen atteint 15 € sur place et 26 € en livraison. A noter qu’en province, la moitié du CA se fait en livraison et la proportion passe à 70 % à Paris. 

Cap vers l’export

Junk Group nourrit de grandes ambitions et souhaite ouvrir le plus d’enseignes possible. Les deux entrepreneurs espèrent atteindre un chiffre d’affaires de 23 M€ en 2024 (contre 11,5 M€ en 2023). Neuf ouvertures sont prévues en France et une à Londres dans les prochains mois. Si l’essai est concluant en Angleterre, d’autres ouvertures devraient suivre. En parallèle, les dirigeants tablent également sur des partenariats avec des chefs et des hôtels.

Béatrice Vigot-Lagandré
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