Nocciolata affirme sa présence sur la RHD

Myriam Darmoni
Image
Nocciolata monodose biodégradable

Nocciolata, la marque de pâte à tartiner n°2 du marché, se montre résolue à satisfaire les besoins spécifiques de la restauration tout en adoptant une démarche écoresponsable.

Partager sur

Nocciolata inaugure des capsules en bioplastique, une alternative écologique et responsable aux emballages traditionnels plastiques. Ces capsules, fabriquées en matériaux biodégradables et compostables, soulignent la volonté de la marque de s’engager dans la durabilité environnementale et d’accompagner les professionnels dans leur démarche RSE et les aider à lutter contre le gaspillage alimentaire. Elles permettent également de proposer des formats individuels, pratiques pour les petits déjeuners. « Ces nouvelles capsules révolutionnaires pour ce type de produit ont demandé plus de trois ans de développement. La difficulté a été de trouver un amidon de maïs résistant et des opercules en bioplastique », explique Patrick Pouly, directeur commercial de Rigoni di Asiago. Et bien sûr, il a fallu créer la machine qui allait avec ce nouveau conditionnement. Le produit est déjà référencé chez Metro.
 

Image
Pot Nocciolata sans lait

Une version sans lait

En parallèle, Nocciolata présente une nouvelle une version de pâte à tartiner sans lait afin de répondre aux attentes d’une clientèle plus diversifiée aussi bien en termes de goût qu’en termes d’intolérance ou de régimes alimentaires spécifiques. « La version sans lait a un goût plus corsé. 10 % des clients environ sont concernés », précise Patrick Pouly.
 

Une offre complète pour les pros

Présente sur le marché de la RHD depuis quatre ans, Nocciolata est conditionnée dans différents formats afin de répondre à la demande du plus grand nombre. « Notre présence sur le hors domicile s'est fait suite aux sollicitations de nombreux indépendants. Rapidement, nous avons aussi eu une demande des transformateurs », explique le dirigeant. 
Ainsi pour répondre à tous les besoins, la pâte à tartiner bio est conditionnée sous différents formats : 830 g et 2,5 kg, avec possibilité d'ajouter une pompe. Un format qui répond aux exigences hygiéniques. Enfin, elle existe aussi en seau.
 

La France, plus gros marché européen pour la pâte à tartiner

Nocciolata, marque de l'italien Rigoni di Asiago, est parvenue à se faire en moins de vingt ans une place derrière le leader du marché dans la pâte à tartiner en France, qui est le plus gros marché européen. Elle est aujourd'hui deuxième sur le segment avec 8,3 % de part de marché. En France, la marque réalise un chiffre d'affaires de 31 M€. Référencée chez tous les principaux distributeurs (Sysco, Transgourmet, Cercle Vert, Metro...), elle est aussi présente dans plusieurs enseignes du groupe Bertrand (Au Bureau, Volfoni), et est utilisée par de nombreux transformateurs, notamment  de muffins, cookies ou donuts. Elle est aussi présente sur les tables des petits déjeuners des hôtels 4  et 5 étoiles du groupe Accor.
Si Patrick Pauly reste discret sur les objectifs du groupe, une chose est sûre, il ambitionne bien d'imposer Nocciolata en restauration hors foyer.

Avec Oriane Corsan

Une composition saine et sourcée

Nocciolata est composée d'ingrédients bio et sourcés. 
- Des noisettes : l'ingrédient principal sont les noisettes, qui sont à 80 % italiennes. Rigoni di Asiago produit une partie des fruits. Là c'est la variété Tonda romana qui a été choisie car elle a la particularité "d'être petite, peu grasse et très goûtue", explique Patrick Pauly ;
- Du sucre : il est brut, de canne ou de betterave (là aussi produite en Italie), "afin de favoriser le sourcing local" ;
- Du cacao, entre 6,5 et 8,5 % et originaire de Saint-Domingue majoritairement ;
- Du beurre de cacao ;
- De l'huile de tournesol ;
- De la lécithine de soja et de l'extrait de vanille. 
Ces ingrédients ont subi une très forte inflation depuis la sortie de la crise sanitaire : "le beurre de cacao est 6 fois plus cher, le sucre a augmenté de 50 % et le cacao est désormais plus cher que le cuivre, mais nous n'avons pas augmenté nos prix", conclut Patrick Pouly.

Myriam Darmoni
Partager sur

Inscrivez-vous gratuitement à nos newsletters

S'inscrire