L'éco-score, nouvel indicateur environnemental

Il est ouvert à tous les acteurs qui souhaitent s’engager dans l’affichage environnemental. Il peut être appliqué aux produits agroindustriels et aux plats préparés.

Sept critères de calcul

L’éco-score est calculé en fonction de sept critères : la culture et l’élevage des ingrédients, leur transformation, leur saisonnalité, leur provenance, l’emballage, leur transport et enfin leur livraison. Le score final donne une note sur 100 points traduite par une lettre allant de A à E.

Cet outil a été créé par un collectif de 10 acteurs de l’alimentation parmi lesquels FoodChéri et Seazon, mais aussi Yuka, La Fourche, Marmiton, Etiquettable, Open Food Facts, Eco2 initiative, ScanUp, Frigo Magic. Depuis septembre, une expérimentation a été lancée, encadrée par l’Ademe et l’Inrae. Elle sera d’une durée de dix-huit mois. Dès janvier, FoodChéri et Seazon affiche désormais l’éco-score sur l’ensemble de ses plats. « Depuis plusieurs années, nous travaillons sur des recettes équilibrées et des ingrédients limitant au maximum notre impact sur l’environnement. Je suis fière de pouvoir désormais mettre entre les mains de nos clients un nouvel outil qui va les aider à faire les meilleurs choix possibles pour leurs déjeuners », déclare Caroline Vignaud, chef R&D de FoodChéri.

LEGENDE : Alors que l’impact moyen d’un plat en France est de 1 530 g, ceux de FoodChéri est de 880 g avec pour objectif d’atteindre 770 g après l’arrêt du bœuf.

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Alors que l’impact moyen d’un plat en France est de 1 530 g, ceux de FoodChéri est de 880 g avec pour objectif d’atteindre 770 g après l’arrêt du bœuf.