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Plato à la rescousse du personnel de salle

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Plato

Le robot de service soulage l’équipe en salle, première victime des problèmes de recrutement auxquels fait face le secteur de l’hôtellerie restauration.

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La rentrée n’est pas partout synonyme de reprise. De nombreux établissements n’ont pas cessé leur activité, voire ont tourné à plein régime pendant l’été. Résultat : les serveurs sont sur les rotules alors que partent les saisonniers, souvent pas remplacés. Le constat est connu et les faits sont têtus. Conditions de travail difficiles, horaires décalés, travail en soirée, les week-ends et jours fériés pour des salaires qui stagnent depuis des années : l’hospitalité ne fait plus rêver et la crise sanitaire a aggravé ce désamour. Le torchon brûle. Selon la DARES (Direction de l’Animation et de la Recherche, des Études et des Statistiques), le secteur CHR a perdu 237 000 salariés entre février 2020 et février 2021. Une désertion qui pourrait mettre en péril la pérennité des entreprises. Ravir les papilles des clients et soigner leur sommeil ne suffit plus, hôtels et restaurants doivent donc désormais séduire leurs (futurs) salariés pour les recruter et les garder.

Sortir du cercle vicieux

Plus facile à dire qu’à faire. Dans ce contexte où le personnel manque, les conditions de travail de celles et de ceux qui restent se dégradent, tout comme la qualité du service perçue par le client. « C’est un cercle vicieux : en raison de la baisse d’attractivité, la charge de travail des employés augmente. Ils tombent malades ou préfèrent changer de vie. Des établissements en viennent à fermer certains jours ! » constate Anis Ben Mahmoud, Hospitality and Retail Business Development Director chez United Robotics Group. Le groupe allemand a racheté Aldebaran, fleuron de la robotique française à l’origine de Plato, le premier Cobiot pensé pour aider les professionnels de la restauration et de l’hôtellerie. Et le commis sur roulettes répond en partie à ce défi majeur d’attractivité. « Sans remplacer l’humain, nous essayons de soulager l’équipe en place. À effectif constant, et donc avec des horaires plus chargés, Plato leur permet de travailler dans les meilleures conditions possibles » précise le directeur. 

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Anis Ben Mahmoud, Hospitality and Retail Business Development Director chez United Robotics Group

Réduire les TMS

En effet, le robot a été tout spécialement conçu pour éviter aux salariés les tâches les plus pénibles et répétitives, sources des troubles musculo–squelettiques (TMS) qui représentent 94 % des maladies professionnelles dans la restauration au niveau national. En les aidant à servir les repas et les boissons, à débarrasser et à dresser les tables, il leur évite lourdes charges et kilomètres inutiles. Sa petite taille et son agilité, qui lui permettent de se faufiler partout (jusqu’à 65cm de largeur entre les allées), cache une grande force. Avec ses trois plateaux, le commis peut porter jusqu’à 30 kilos. Il diminue ainsi les claquages et les entorses musculaires — 3ème accident du travail le plus signalé dans les services alimentaires — qu’ils soient dus à des glissades ou à des chutes, à des mouvements répétitifs, à l’obligation de rester debout pendant de longues périodes ou de soulever des objets lourds (source : Ameli).

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Plato

Améliorer les contact client

Allégé de ces missions à faible valeur ajoutée, le personnel peut se concentrer sur son cœur de métier, le service. Chez Henriette, 150 couverts à Beaucouzé (Maine-et-Loire), la serveuse a commencé par laisser circuler Plato avec des carafes d’eau et du pain, avant de complètement changer sa manière de travailler. Au lieu de se partager la salle en deux, avec sa collègue, elles ont redéfini leur rôle respectif. L’une se tient derrière le bar pour accueillir les hôtes et préparer les boissons, laissant à l’autre le soin de prendre les commandes. À Plato de servir et de débarrasser. En acceptant de revoir leurs méthodes de travail et en s’emparant de l’outil, elles ont gagné en confort, en efficacité et en qualité de service.

Certes, Plato ne peut accomplir de miracle. Mais, bien utilisé, le petit robot pourrait bien se transformer en super-héros des restos !
 

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