BCHEF, l’enseigne française du burger qui monte

Laurence Marot
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LILLENIUM_BCHEF

Avec l'ouverture de son nouvel établissement à Lille, BCHEF s'impose dans le paysage français du burger.

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BCHEF, la chaîne de restaurants de burgers poursuit, de plus belle, sa conquête dans toute la France en 2024. L’une des dernières ouvertures en date : un établissement sur 350 m2, doté de 100 places et d’un décor moderne et convivial, installé au 2e étage du jeune centre commercial de Lillenium au sud de Lille. 
Le responsable de la franchise Nourédine Malim, accompagné de sa femme Sandrine et ses enfants, n’est pas à son premier banc d’essai avec BCHEF puisqu’il a ouvert en 2019 une première adresse, avec succès, au Auschopping Noyelles à Noyelles-Godault dans la région du Pas de Calais. « J’ai accepté de m’investir dans une deuxième franchise car j’apprécie le côté familial de BCHEF et l’excellent rapport qualité-prix des produits adaptés à tous les types de goûts », explique l’entrepreneur.  

L'histoire d'un succès

Né en 2015, BCHEF est un concept de restauration « fast casual » fondé par Julien Perret, ancien consultant en stratégie. En presque 10 ans, le fondateur a gagné son pari : révolutionner le monde du burger à travers deux piliers, un tarif raisonnable (entre 9,90 € et 15,90 €) et un produit avec un goût séduisant (des recettes avec du pain boulanger, un steak frais et des sauces préparées sur place) proposé par plus de 65 restaurants et 62 franchisés (droit d’entrée à 32 K€. Julien Perret espère atteindre les 12 % de croissance entre 2023 et 2024.
 

"Les Essentiels ", une nouvelle carte de burgers encore plus alléchante

Fort de ses recettes innovantes et de qualité, l’enseigne française vient de lancer une nouvelle gamme du nom « Les Essentiels » alignée à des prix fast-food à partir de 9,90 €. « C’est un burger composé d’un pain artisanal au sésame de la maison Thierry, de viande fraîche grillée et de sauces signatures. On a déjà de très bons retours. » commente Nourédine Malim qui espère conquérir les gourmets lillois.

 

Laurence Marot
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