Le snacking décrypté par la FEEF

Myriam Darmoni
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La folle histoire du snacking FEEF 2024 RS ok.png Texte alternatif

La FEEF vient de publier une infographie réalisée en partenariat avec Strateg’Eat sur le snacking.

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En 2023, on recense 53 000 établissements de snacking (ils n’étaient que 13 000 en 2003). On distingue les fast-food (McDonald’s, Burger King et autres…) des enseignes milieu de gamme, type La Mie Câline ou Pomme de Pain des enseignes plus premium. Ces dernières peuvent aussi bien être représentées par des coffee-shops, type Columbus Café, que des boulangeries haut de gamme comme Kayser ou Feuillette (qui vient d’être récompensé du titre d’entrepreneur de l’année en Snacking aux Ze Awards de la restauration 2024) que Big Fernand. Plus de 20 concepts naissent chaque année dans cet univers.
 

 

L'importance de la VAE

Le snacking c’est aussi l’offre de VAE (aussi bien en boulangerie que les corners en entreprises voire en GMS). Si la pause déjeuner est le principal temps de repas, les autres moments de consommation sont le petit déjeuner (15 %) et le goûter (1,7 pause par jour pour un actif). A noter que 33 % des repas sont pris en hors domicile et plus de la moitié en dans des lieux de snacking. 
 

Une offre diversifiée

L’offre se compose de sandwichs (8,20 €), burger (14,10 €), pizza (15,30 €) ou kebab et tacos pour le snacking salé et de cookie, pain au chocolat ou muffin et autres pâtisseries américaines pour le snacking sucré. Les propositions asiatiques et végétales sont en pleine progression, et le client plébiscite les recettes « belles » que bonnes. 
En conclusion, le snacking est un vrai relais de croissance, surtout si on travaille son offre, on diversifie, notamment une offre coffee-shop comme on le voit de plus en plus en boulangerie et qu’on propose à ses clients une expérience client améliorée.

Myriam Darmoni
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