Picadeli agit pour un avenir durable

Quelques jours après la COP30, ayant pour but de lutter contre le réchauffement climatique, Picadeli, le spécialiste du bar à salade, annonce intensifier sa stratégie visant à réduire son impact sur le climat. Si pour le moment une salade vendue par l’enseigne émet 0,83 kg de CO2e, elle espère atteindre la barre symbolique des 0,5 kg de CO2e, comme le recommande l’Accord de Paris. Pour atteindre cet objectif, plusieurs actions ont été mises en œuvre.

Tout d’abord, Picadeli poursuit la décarbonation. Pour y parvenir, les protéines animales laissent doucement place aux protéines végétales. En 2026, une boulette mi-poulet mi-végétale fera son apparition dans les 400 points de vente de l’enseigne et remplacera la boulette de poulet actuellement au menu. En parallèle, Picadeli continue sa stratégie de transparence en affichant l’équivalent en CO2e de chacun des ingrédients présents à sa carte.

« Chez Picadeli, nous voulons que chacun comprenne l’impact de son assiette, sans perdre le plaisir de bien manger, c’est pourquoi nous rendons visible l’équivalent CO2e de nos ingrédients afin d’intégrer la question climatique au cœur même de notre expérience culinaire. Notre ambition est de rendre l'alimentation saine simple et abordable », explique David Bicheron, directeur général de Picadeli France.

En parallèle de ces mesures, l’enseigne accompagne les clients durant leur commande afin de consommer un bol plus responsable. Au moment de composer son repas, les équipes de Picadeli recommandent d’y inclure 50 % de légumes et salade, 20 % de protéines (idéalement végétales), 20 % de glucides et 10 % de garnitures ou sauces. Avec près de 50 millions de salades vendus chaque année dans ses points de vente, la marque espère, à son échelle, réduire l’impact moyen des repas sur l’environnement.